De votre modeste webmaster

Lettre a toi, Claude pour ton anniversaire de tes 95 ans ,

Il y a 95 ans aujourd'hui ! mais il faut attendre 10h pour enfin te voir après bien des souffrances et arracher aux entrailles de Mademoiselle Maman au fer ! Il faillais avoir les grelots bien accrocher mon cher Claude, mais c'est vrais que les cuivres n’était pas encore de rigueur et il coulissais mal dans cette rue du  56. boulevard d'Arcole dans ce quartier des minimes a Toulouse.

Mon très cher Claude, Toi la haut ! Avec les anges, fêtons ta venue plutôt que ton absence !

C'est plus gai et puis tout rester a faire! Écoutez, lire, regardez, découvrir et faire découvrir ou redécouvrir ton œuvre Nougaresquement jazzy. Crois moi ! Moi je crois, tu verras, tu verras !

Je voudrais écrire ! J'ai envie de t'écrire mon très cher Claude !

Tu n'a que 95 ans aujourd'hui et c'est largement possible . Et je sais comment décorer de trais de Hugo ou Verlaine, par ma mine de charbon grise cette page immaculée. J'ai tellement de choses à te demander et tu a tant de conseils a me confier ! Et je boirais goulûment tes commentaires dans ton silence assourdissant jusqu’à plus soif ; et les dépourvues de Nouga-réves dirons que je suis fou ou je suis saoul. Oui ! ivre de toi, mais jamais assez !

Depuis mon enfance saccader ; le feu Nougarien brûle en moi sans jamais de défaillance et certainement pour le restant de ma petite éternité. Dans mon village d'enfance perdu entre Bordeaux et Toulouse dans une bastide en bord de Garonne qui s’inviter tout les ans a la même époque ! La fonte des neige bien sûr, « bien que je n'ai jamais trouver ton précieux Montblanc » Tu est avant tout une gloire, ici ! une star locale, mais c'est ta musique qui ma fait tendre l'oreille, ce coté swing et jazzy et de la, tes paroles m'ont beaucoup plus appris que l'école. Car moi aussi vois tu, je n'étais pas très brillant dans ces domaines, seul les maths, algèbre, géométrie, dessin industriel et surtout l'histoire de France avais un intérêt pour moi car elle me permettais de m'évader de mon triste quotidien et c’était pour moi le cinéma échappatoire a l’ennuie. Et donc je peut dire que ma sommaire et trop petite culture du français et de la langue, notre belle langue Française ne me vient principalement que de toi. C'est un comble que tu soit a cette époque devenue mon prof de lettres.

Et depuis ; je ne t'ai plus quitter et j'ai beaucoup appris, tu ma suivis partout en me donnant un réconfort permanent, je me souvient de ses longues routes ou entre deux chantiers avec mon 208D tu étais le seul a avoir le privilège d'entrée en k7 dans l'auto radio pour diffuser ta voix cadencé, syncopé et si articulée, et nous étions deux a chanter. Plus tard mes enfants faisait les cœurs, ha ! Mes gosses élever au biberon Nougaresque . Je t'ai usée jusqu'à la corde par abus d'écoute que ce soit pour faire la fête ou soulager mes douleurs ; toi tu était de tout les instants !

Mais que me prend t'il ?  De parler de toi au passer ! Puisque c'est toujours le cas ! Depuis la dernière trahison de l'éternel en ce 04 Mars 2004, déjà plus de 20 ans ! Ici les choses ont beaucoup changer. Et je m'efforce avec peut de moyen et beaucoup de temps de faire partager ce que tu me donne au quotidien depuis toujours, en l'occurrence une collection de tout ce que j'ai pus chiner, acheter et mêmes mes souvenirs qui me lie a toi. Une si petite tache par rapport a ton œuvre si grande et instructrice. Je ne suis qu'une goutte d'eau dans ton pacifique océan de mots.

Ici bas, mon pauvre Nougaro nous avons perdue la clef, le monde continue de cracher ses tonnes de caca, Je crois qu'il serais temps que l'homme jette une bouteille a la mer. Je donne bien la pareille aux politiques ou aux cardinaux en costumes noir, mais rien ne change. Un grain de folie a fait de ce pays un Western a la rythm'n flouze car ce monde est a bout de souffle mais loin d’être tendre. Il n'a pas progresser mais s'enfonce plutôt ; et chaque jours d'avantage ! C'est la mutation ; dans une course aussi stupide que mortifère. Il y a toujours ses chefs de guerre tapis dans l'hombre de la planète bleu semant la triste couleur rouge et noir. L'économie vacille et les ouvriers trinque, la pauvreté des travailleurs est stupéfiante, la sécurité aujourd'hui c'est enfuie devant la puissance de l'argent facile et sans honneur de la voyoucratie, la justice sans âme ni moyen en gestionnaire de prisons ne punir sévèrement que les pauvres gens honnête et laisser les autres en liberté, la santé est devenu un business anarchique qui compte beaucoup mais soigne quand elle le peu avec de moins en moins de moyens, la violence, le non respect et le j'en foutre saupoudré d'inculture est la seule chose qui fait recette et monte dans les seuls graphiques en progressions fulgurantes du moins en France. Tu vois Claude pas vraiment moyen d'être vachement décontracté. Au secours docteur ! ce monde malade, a des médicaments foireux : L’incompétence et arrogance des dirigeants gonflé de pouvoir et d'orgueil... Et la marche arrière est invisible ! même le cri de Tarzan ni changeras rien ! car il n'y a plus de gardien de phare et les petits galions gaulois sont en perdition.

Tu disais : Le ciel serais accablant sans nuage, je dirais : Sans toi, mon firmament est bien triste en ces temps. Tien, une rime ! presque un alexandrin ! Chouette sa roule des essieux, ça tourne !

En résumé, et en ces temps nouveaux le mauvais tic tac est a la mode et a l'ouvrage car l’espérance en l'homme est bousculé et le bonheur s’éloigne pendant que la jet set est avec les anges.

Mais assez parler de moi et de ces temps maudit dit : toi la haut, c'est comment la bas? Prisonnier des nuages ou c'est le paradis, direction vénus ! Si haut pour un homme d'ici bas ? Y a t'il la bas aussi les p'tits bruns et les grands blonds qui parlent aux femmes avec toujours autan d'énergie.

Oui , je me doute que jésus est accepter que tu soi au balcon et non dessous, et Marie Christine fait certainement la fête avec tous tes copains amis, parents, ses don juan et illustre jazzeurs avec qui tu peut t'en donner a cœur joie ! Il est vrais que le temps passant beaucoup sont venue te rendre visite comme une plume d'ange, nous laissant de plus en plus orphelins, dis leur la haut : Assez!

Et c'est pourtant un privilège de voir le temps qui passe ! Mais ne compte pas sur moi pour te faire une chanson qui t'aille, j'en suis incapable. Par contre toi, tu pourrais nous faire une nouvelle samba des prophètes.

Tu disait ; Papa, un baryton d'un opéra d'anges, Moi aujourd'hui je dirais Claude donne le la, au majestueux big bang céleste pour laisser passer sa majesté le jazz ou la java....... du diable!

Je doit rejoindre le monde des vivant, faire semblant de tourner la page et rejoindre le pommier de paradis, donc te laisser momentanément, mais jamais tu ne me quitte car tu est mon compagnons de route sans qu'une journée ne passe sans ta présence dans mes pensées les plus tendre.

Il y a 95 ans aujourd'hui! Et on aller découvrir le mariage du jazz et de la langue Française avec toi comme porte voix, c'est un anniversaire que nous ne devrions pas oublier car toutes les musique Nougaresque seront toujours la, avec toutes ses richesses et subtilités . Je me rappelle que tu blagué en disant « 1929 grand millésime dans le Bordelais et grand bordel chez les milliardaires »Bicause le krach boursier de 29. En y repensant je dit 2004 grand vide immense dans la chanson représentant le multiculturalisme musical et de la langue Française que rien n'y personne ne remplace ; serais tu donc le triste marqueur et la fin d'une époque si riche d'esprit ?

Je te célèbre plusieurs fois par jour par mon cinéma, le cinéma du Nouga-FadaS pour honoré une œuvre si riche et ne me lasse pas de te dire : de bas en haut et de haut en bas : Tu me manque autant que JE T'AIME...a cœur perdu d'un amour absolus.

Ô Claude c'est mon cœur, qui parle et écrit dans ton jardin céleste et en fleurs.

Paulolabrique le ; 09 septembre 2024 a Edern 10h

Le mâle et le bien

Et le mal se demande si le bien est un malentendu !

Mais le mâle qui a bien entendu

apporte des fleurs au bien.

Qui parfume si mal

Et bien entendue

personne ne comprend rien.

Pourtant le bien a mal

d'avoir vue le mâle

apporter au bien

Les fleurs du mal

Et le bien a bien du mal

a croire que le mal lui veux du bien

Alors Charles le mâle

Clame qu'il faut que le mal devienne bien

Ça seras dur et peut banal

Mais plus rien ne seras inhumain

Voila c'est enfin royal

Et Charles dit fort et bien:

C'est beau !a : Delaire                                         Paulolabrique le : 13/01/2024


Pensée du matin : 18-11-23

La musique !

Ce marqueur du temps, ce bruit mélodieux qui nous ramène obstinément vers un temps, une photo, un moment est plus que de simples notes, les musiciens sont plus que des faiseurs de bruit et le chanteur est plus qu'un crieur.
Cela forme un tout pour créer une mélodie que l'on appelle communément ; la musique, qui est pour moi : ce que les jours sont au calendrier de la mémoire de la vie.
Vivre sans musique, c'est inventer la gomme à effacer le passé.
Donc n'avoir jamais existé.

Merci, Claude, d'avoir tant fait pour que toutes tes chansons soient des moments de souvenir
qui n'iront jamais au cimetière des photos.


Le rêve fou d'un autres fou, Moi !

Tous les ans à la même époque, je fais un rêve.
A chaque fin d'année ; un rêve merveilleux, je rêve debout, je rêve assis, je rêve les yeux ouverts.
Et je plonge dans un autre univers, dans une autre dimension.
Voulez vous que je vous compte, mon si beau et tendre rêve qui pourrait devenir vôtre ?
Je m'endors sagement en attendant la nouvelle année qui va poindre à l'aube du jour, je m'enfonce dans ce sommeil réparateur et lentement je sens que je m'élève comme une aura qui contemple ce corps endormi plus bas.

Comme dans un rêve ouaté et me sens transporté, que dis-je téléporter dans un vaporeux halo de lumière claire mais pastel, douce, apaisante et envoûtante.
Une foule de gens sont là et pourtant pas un bruit !
J'aperçois ici et là des tas de gens que j'ai aimés, baignant dans une douceur de paix et de lumière.
Je ne ressens rien que le bien, je ne voie que calme, paix et sérénité.
L'amour a fait place nette à l'envie ! l'envie d'avoir, d'acquérir ou de posséder par le profit ou la corruption ; ceci n'existe même plus !
Il règne ici une paix aussi fraternelle qu'éternelle.

Plus de cris, plus de guerres, plus d'ordres imbéciles proclamés par des d'irrigants idiots, NON !
Il n'y a que l'envie de s'aimer, s'écouter pour s'entendre, donner, recevoir et remercier.
Je me sens si bien ! Je me sens en paix, je n'ai ni peur de demain ou de mon prochain ; je sais que nous faisons partie d'un tout qui ne font qu'un.
La misère a fait place au partage, les accidents de la vie ont fait place au bonheur, la faim n'existe plus car la faim est spirituelle ; ici le bruit et la fureur des hommes a fait place nette devant la sérénité, la paix, la fraternité et l'amour.

Ho ! Que je suis bien lové dans mon rêve au chaud entre mes couvertures et mon Ile.
J'aimerais que le temps s'arrête, encore une notion d'avant ! car ici il n'y a pas de temps, on est le temps, on a dû se transcender pour devenir âme ?
Puis aussi soudain que léger, un imperceptible bruit vient me troubler ! Mon corps se refroidit, se raidit, je sens diverses douleurs légères de la vie, je reprends mon souffle comme si je n'avais jamais respiré et je comprends que je me réveille.

C'est le triste retour à la réalité, je me frotte les yeux et pense à boire mon café.
Je suis si heureux d'avoir passé une si belle nuit que je suis encore dans cette fausse vérité de rêverie.
Puis ma tasse à la main je m'approche de la fenêtre en pensant toujours à cet univers et par le carreau embué de mon café chaud je regarde la vie, là ! Devant moi, dehors.
Je vois du désordre, du bruit des gens qui courent, qui crient, d'autres qui font les poubelles pour essayer de se sustenter, des gens trop parés passent aux côtes de gens trop peu vêtus,
Malheureusement ma tasse me tombe des mains, le bruit sur le carrelage me surprend et me ramène à notre triste réalité, car je sais maintenant que ce n'était : qu'un doux rêve.


Pourtant, ! Ce n'était pas si fou, ce monde est bien à nous, pourquoi n'essayons-nous pas ?


C'est un rêve et un vœux que l'on peut faire tous les jours, mais aujourd'hui premier jour de l'année 2024 nous devons tous, tout faire pour y arriver.

Bonne année 2024

Paulolabrique le 30 décembre 2023


Le 21 mai 2023  Bonjour amis Nougaga et Nougafada comme moi,

Me voilà sur ce groupe devenu meilleur contributeur,

Et je vous remercie de ce grand honneur,

Mais ce n'est pourtant qu'un cris du cœur,

Car la chienne ta pris et il ne me reste que douleurs,

Elle devais avoir une sacré sale couleur,

Peut être celle du sourire d'un putain de violeur,

Dans mon âme j’ai été dépouiller par ce voleur,

Ton absence, mon manque me fait si peur,

Que je le comble en glorifiant ta valeur,

Car je ne veux que vanter ton talent, ta grandeur,

Pour que tous reconnaisse que tu est loin d’être un leurre,

Voila c'est tout ! Mais merci pour ces fleurs,

Et Claude prend la suite avec 4' de BONHEUR,

Bonne fin de week-end et A+ (merci encore a tous)

mercredi 1 novembre 2006 à 08h57

Lettre à Hélène Nougaro

Partie le vendredi 08 septembre vers 22 heures de la fin des terres ou la mer de phares, avec mon automobile et accompagner de Françoise (mon île) en navigant sur le serpent noir zébrer, pour arriver au petit matin dans la ville flambant rose.
Oui ! enfin nous allions à Toulouse voir le concert hommage de Claude Nougaro dans sa ville natale, et essayer de mieux comprendre ou il coulait des jours heureux.
Notre arriver fut plus rapide que prévu, car nous marchions sur le très beau pont saint Pierre illuminer de couleurs violette vers 6 heures 30, déjà un sentiment de joie et une envie de découverte nous envasaient et de ce pas nous visitons les dessous et jardin du pont ou nous voyons la Garonne qui sans dormir et inexorablement coule dans le lit de Claude, mon visage s’assombrit, mes yeux larmoyant ce dérobe du regard d’autrui, car je sais qu’il est la !
Mon île me regarde, me comprend, me rassure et m’embrasse pour effacer la rosée qui perle de mes joues.
Puis nous naviguons vers l’association pour une adhésion faite déjà depuis si longtemps dans notre cœur, ou surprise nous serons amenés à discuter autour d’un café avec les très charmants parents d’Hélène qui nous rejoindras quelques temps plus tard.
Mon cœur saute dans sa cage ! Une joie tétanique m’envahis et je suis comme un con !
J’arriverais à dire quelques mots de remerciement à cette immense dame de ma folle passion mais si maladroitement.
Une fois rentré en Finistère après notre Nouga-pèlerinage de Toulouse a l’île de Ré je prendrais ma plume binaire pour écrire, pour remercier, pour avouer combien je remercie et respecte cette illustre famille si simple et sincère animées d’une telle fougue.Voilà Mme ce que j’aurais du vous dire le 09 septembre 2006 vers les 9 heures du matin quand j’ai eu la chance de vous embraser en vous disant simplement merci.


A Hélène qui est la gardienne des mots
A Hélène qui est la sagesse de nos maux..
Au delà de cette dure tache elle est aussi le moteur à inculquer, annoncer, donner, et bien sur réaliser.
Car tel la statue de la liberté elle brandit fièrement la torche érectile du patrimoine motsical nougaresque, clamant et appuyer par son association qui rassemble avec force, puissance et conviction, si fougueuse et comme des olympiens nous : les anonymes amoureux attisons la flamme par notre passion partagées afin que celle-ci brûle a jamais.
Bravo ! Et merci encore Mme Hélène Nougaro de cet amour qui ne peut être que communicatif et référent-cieux qui au delà de la vie plonge dans les grands fonds de la mer de la tranquillité. Preuve que L’ici bas a rejoint l’ultime.
Claude à jeter son encre sur une île Hélène et tous deux ont encré le papier a musique qui peut a peut c’est transformer en encyclopédie de la langue, la sienne, la tienne, la mienne, la notre, la seule !
Il n’y a pas assez de mots pour dire Ö combien j’apprécie l’homme et son œuvre, pas moins d’ailleurs que pour remercier cette île de Nougamour si paisible et sincère qui aime ses rivages enneiger a la lumière glacer et ou coule célestement une Garonne crépu, c’est ici que Claude a eu la sagesse de s‘amarrer amoureusement pour son éternité. Comme toujours il ne pouvait trouver meilleur allier Comme toujours il ne c’est point tromper.
Merci ! Merci infiniment pour tout et de nous tous.
Paulolabrique famille Sainte-Croix.

QUI SUI-JE

 

Un géant d’esprit et pourtant: petit, trapu et courbe,

Une allure de bête a corne qui monte et retombe,

La démarche pesante comme sa prestance : une bombe !

 

Un visage d’ange, universel, un grand père aimer,

Une bonté que même les saints auraient rêver,

Une générosité sans limite comme pour se damner.

 

Des mains qui parlent comme les yeux regarde,

Des yeux ou l’amour te traverse, te barde,

Un visage qui donne la sécurité en sauvegarde.

 

Un cœur gros comme le monde, sans le malheur,

Un cœur sans vengeance, rancunes ou rancœur,

Un cœur qui bat a grand coup de ton bonheur.

 

Des tripes comme un homme, un vrais !

Un homme comme dans un conte de fée,

Qui compte les  notes et vocalises sur un air parfait.

 

Une bouche d’ou ne sort que vers et alexandrins,

Une voie unique qui fait son train-train,

Une voie unique qui continueras sans fin.

 

Une vie de passion entre mots et notes,

Sacrifier sur la scène pour jouer avec ses potes,

Pour que bien après le spectacle, dans la tête sa trotte.

  

Je ne suis que modestement : Claude Nougaro,

Celui qui j’espère a soigné vos maux par d’autres mots,

Sans pour autant être docteur ou plus beau,

Mais seulement pour que mon œuvre ne tombe pas à l’eau.

Le 17 aout 2006 Paulolabrique

 

 

Ma terre défigurée,

 

Dans l’immense univers en perpétuel mouvement

Existe une merveilleuse boulle bleu, ou tout fou le can

Amour, civisme, sincérité, et fraternité sont partie de la tête des gens

On parade, on hypocrite, on sa-range, avec pour seul arbitre : ce putin d’argent.

 

Elle était pourtant bien cette boulle de terre avant,

Avant qu’il y ais trop de gugus de politico polichinelles enfin des parents

Pour engendré beaucoup trop d’enfants

Qui pollue et tue au non du progrès, la majorité du temps.

 

Jusqu'à épuiser les ressources naturelles afin de manger chimique,

Séntre-tuer doucement et légalement ; avec appuis du gouvernement, se salle tique

Et bonheur ! Le capital est sauvé puisque on se soigne à la clinique

Mais on sen fou c’est nos enfant qui aurons droit a la grande panique

 

Sans être facho, il faut reconnaître que la terre a bobo

Que cette faute nous incombe en nous comportant comme des robots

Aveugle de bonheur, peureux de représailles, l’humain n’est pas très beau !

Nous savons oublier, mentir pour se protéger et face aux grand chalenge tourner le dos.

 

Que puis-je faire pour enrayer cette misère chiche-intelectuelle

Sinon rebâtir les esprits par des mots scalper dans vos oreilles à la truelle

Pour prendre enfin conscience de ce dé formater et vivre sa vie tel quel

Et avoir le plaisir de mourir saint, dans un monde divin et ce dire que ma vie fut belle !

 

 

Face a la grande faucheuse je sais que je n’aurais pas vécus ce que j’ais voulus

Je sais que je laisserais derrière moi des erreurs et des projets qui ce sont tue

Que j’aurais pu être plus utile et servir mieux ceux qui du bonheur ne sont pas repus

Donc face a tous ce gâchis et temps perdu ; je prendrais la rue qui dit : IL FUT

                                                                                                    Palolabrique  le 02 juillet 2006

 

 

Toi la haut ! Mr Claude NOUGARO,      

                                                                                                                                                      le 05.03.04

Aujourd’hui ! mon drame, j’ai perdu la poésie de mon âme,

Tel un feu follet qui tire les larmes,

Mon désarroi est en plein vague à l’âme,

Pour m’en sortir il va falloir que je rame.

La lame de tes mots, coule sur ma peau,

Et mon cinéma c’est ton ciné mot,

Comme tes rimes qui monte haut,

Sans toi aujourd’hui , qu'es ce que je vaux.

A ton écoute, swing et rythme me fouette comme un vîmes,

Inconnu et si loin de toi, je me sens pourtant si intime,

Ta verve de gascon a grandi jusqu'à toucher l’ultime,

Et seul sans toi, je suis en état de victime.

J’aimerais prendre ta main camarade, faire avec toi une ballade,

Irlandaise ou toulousaine je sais que j’aimerais l’aubade.

Qui sera sous le balcon, courir ou faire des claquettes sous la pluie comme un con,

Tu vois je te traite comme on se traite, c’est presque la maison.

Moi le fils de nul part je trouve en toi un père spirituel,

Et mon esprit se plait a rêver : la chance si cela avait été aussi naturel.

Mais la chienne de vie t’a fermé les yeux,

Et maintenant sourd je suis, je le veux.

Qui comblera ce vide des mondes musicaux,

Certainement pas la star acc ; fabrique de rigolos,

Le cisellement des mots portés au plus haut,

Ça ne peut être que Mr NOUGARO.

Moi si fidèle, tu viens de me trompé par cauchemar,

Toi le maître des mots, qui dit mineur c’est art,

Mais quoi que je dise il est bien trop tard,

C’est eux la haut qui aurons la chance d’avoir l’enfant phare.

égoïste face a ma douleur,

j’ai mal au cœur et les yeux qui pleurent,

Mais il faut penser a tous ceux qui admire ta grandeur,

Car comme a moi tu leur a donné tant de bonheur.

Pour tous ces concerts et rassemblements d’amis,

Avec mon île Françoise: ma mie,

De dédicace ou tu te dit notre ami,

Point de mont-blanc, mais de mon stylo tu la écrit,

Celui-ci est conserver pour l’infini.

Pourrais-je danser sur toi, le jour de tes funérailles?

Je ne crois pas, car mon désespoir fait muraille,

Et mercredi je serais a Toulouse vaille que vaille,

Je sais que ma peau, mon sang, et mon cœur crierons aïe,

Sachant que rien ni personne ne pourras combler cette faille.

Toi le pygmée occitan qui n’avait pas peur de montrer les dents,

Toi le petit taureau a la démarche nougaresque dans le vent,

Tu nous a laissé un trésor qui va traverser les ans,

Et moi assis sur un banc face a l’océan,

Je regarde et je t’entends.

 

Avant : J’étais heureux de souffrir de NOUGARO MA NIA

Aujourd’hui j’ai NOUGARO MAL … MAL …

Plus qu’un fan qui pleure Mr Claude NOUGARO… Paulo

 

Mon ciné mots a « MA-DAME NATURE »

 

Je vis dans un cadre formidable,

Isolé et seul en pleine campagne ;

J’admire cette nature qui combat l’homme, pousse et gagne.

C’est tout aussi beau que la mer ou la montagne.

Au loin sur l’herbe verte un lapereau trottine en grignotant,

Attirer par l’appât d’autres arrive timidement.

J’entends un drôle de bruit ? Et devant mes pieds une boulle rousse bouge bizarrement,

C’est un hérisson qui cherche à me débarrasser d’un vilain serpent.

Quelques passereaux,  mésanges, chardonneret et autres oiseaux sifflotent en virevoltant,

Réalisant un meeting fabuleux chassant les insectes qui serre les dents.

Tien ! Une biche au loin, peureuse avec son fan ;

C’est bien trop beau je vais chercher les enfants.

Une goutte ? Deux ! Trois ! Voilà maintenant qu’il pleut,

L’arche de Noé se réfugies dans les talus, la ils sont chez eux,

L’herbe se couche sous les gouttes de cristal comme pour ce calmer du feu,

Seul grenouilles et escargots sont la ; a danser tout heureux.

Mes caps canaveraux, mes fusées du ciel à longue branche courbe sous le poids de ce temps,  

Ces beaux corps élancer aux innombrables bras,

Se prolongeant en multitude de doigts fleurie,

Donnent leurs fruits et feuilles aux couleurs arc en ciel.

Par devoir, nécessité de la vie ou cycle imperturbable,

Au seul profit de nos yeux ébahies devant ce miracle permanent car toujours changeant.

Ces immenses  centenaire et beaux arbres me protége du vent,

Qui fièrement poussent vers le ciel, comme pour y rentrée dedans.

Ils s’ont si beau, si fort, et si grand,

Que rassurer je sais qu’ils traverseront tous mes ans.

Je voie le frêne ce multiplier en ce balançant sur la brise,

Déjà ses petits à ses pieds le regarde et semble lui faire la bise.

Le châtaigner me tiendras chaud par ses fruits dans ma soupière,

Tous comme mes fruitiers en d’autre saison ; fruit de ma terre.

L’érable si dur dans ma chambre sera le plancher  à faire.

Et le chêne saura être ma demeure pour mon dernier jour ou il faudra ce taire.

Exotique ment et perdu un palmier peigne le ciel pour lui faire oublier l’enfer,

Incarné par l’homme au non de la productivité,

Industriels gourmands de plus belle et grosse société,

Paysans devenus chimiste par manque de volonté,

Commun des mortel par une imbécillité partager,

Notre mère des mères ils vont nous la tuer.

Paulolabrique le 06/08/2004. Pen Aven

 

QUELLE ÉPOQUE

Le temps est gris et j’ai la mine triste,

Je m’enfonce dans le noir, comme le mineur décent au labeur.

Ou est passer ma mine réjouit et rieuse ?

Partie, comme la vie cette grande fileuse.

A vivre dans ce monde si ivre de douleur, je sens ce déchiré mon cœur,

Pour tant de vie voler et qui avais tellement a donner.

Pour tant de misère, de guerre au non d’une nouvelle ère,

Pour tous cela et bien plus, j’aimerais changer de stratosphère.

Quel triste constat que voilà,

De cette société qui cour comme des rats,

Mais toujours en baissant les bras,

Pour tous oublier le soir, recouvert de ces draps.

Et cet argent qui plait tant au gens,

Pour les fausses joies et les vrais pauvre de moi,

Mais un réel semblant pouvoir qui monte jusqu’au dents.

Effaçant les vrais valeurs que j‘apprécier tant.

Et grâce a lui aujourd’hui dans ce monde tous fou le can.

De ce malaise violence, le terrorisme est entré en transe,

Mais qu’importe, égoïste les morts on sen balance.

Sans amour, valeurs et partage c’est le temps de l’indifférences.

Il fau ce relever et redresser cette déviance,

Avant que l’apocalypse ne mène la danse.

Humain dé humaniser,

Il faudrait recommencer a parler,

Pour enfin réapprendre a s ‘aimer,

Dans ce beau, nouveau monde comblé.

Qui pourrais tuer ces malheurs, fabricant de douleur,

Qui pourrais redonner a notre planète ça belle couleur,

Qui pourrais inondé d’amour ce peuple sans que ceci ne soit un leur,

Ici bas, personne les braves sont déjà mort de peur.

Dans les églises j’irais déclouer jésus quitte a provoquer des heurs,

Si cela avais le pouvoir sur notre terre de tuer le malheur,

Dieu, entité divine si tu est la ! c’est l’heure.

Paulo le 15/04/2004

 

 

Un petit poème pour toi...

Maman. Maman...que j'ai adopter

Il y a plus de fleurs

Pour toi maman, en mon coeur

Que dans tous les vergers.

Plus de merles rieurs

Pour toi maman, en mon cœur

Que dans le monde entier.

Et bien plus de baisers

Pour toi ma mère, en mon coeur

Qu'on pourrait en donner.

Quand je m'endors, quand je m'éveille

A tout moment, je sais qu'une douce fée me surveille

Et m'entoure de soins charmants.

Cette merveille : c'est toi, maman !

Séparer par les kilomètres de la moitie de ma vie,

Résident de la fin des terres ou l’on contemple la mer,

Debout et face a l’océan,

Mon cœur d’occitan cogne la Gascogne,

Qui ce plait a rêver bercer par le ressac,

Que mon corps emporter par la marée,

Va ce laisser ramener prêt d’une bastide,

Grâce a nos rives belles où coule la Garonne,

Alors je serais chez moi et prés de toi, et nous rirons,

Car nous aurons tous le temps de faire manger tonton.

Quand j'en ai marre, que je suis triste...

Cela me fait du bien de savoir que je peux te téléphoner.

Quand je déborde de joie, quelle impatience de

Partager mon secret avec toi.

Tu es mon ange...

Tu es mon espoir...

Merci maman d'être toujours là pour moi !"

Et même si dans la vie,

Tout peut s'user

Mes mains et mes doigts,

La respiration de mon inspiration

Mes bras... mes souliers...

Mon crayon et ma gomme à effacer...

Moi, je connais une chose

Qui ne peut jamais s'user...

C'est la joue d'une maman

Qui reçoit des baisers de son enfant.

 

Bonne fête a MA MAMAN !.

Paulo le23/05/2004.

 

 

Le cauchemar

 

Je suis dans une maison ou les esprits s’égarent,

Et je me noie dans ces regards hagards.

Je voie, lit et supporte leurs souffrances,

Ou seul les médocs leur apporte une certaine délivrance.

Pour les emmener dans une autre transe,

Qui leurs fermes les yeux sur la beauté et leur enfance.

Puis les moments durs reprennent et c’est la bête qui ce déchaîne,

Car le temps est toujours trop cour pour casser ses chaînes.

Et de nouveau je suis dans la maison des esprits égarés,

Ou tout est fermer et leurs yeux sans clarté.

Ils ères de nouveau dans une demi inconscience,

Ou ils ont a jamais perdu leur propre conscience.

Cette folie est une incontinence à l’intelligence,

Qui tous les jours ce passe en parfaite indifférence.

Je voie cette maison se remplir jusqu’a en craquer,

Et croyez moi c’est le contraire d’un compte de fée.

Les rangs grossissent de jours en jours,

Et quoi que l’on fasse ceci est ; et pour toujours.

A qui la faute ? de transcender en cette hérésie,

La plus belle créature de dieu, si ce n’est que cette société.

Qui par un pied de nez est obligé de nous accepter la où elle nous a emmené.

Pour désemplir cette maison où la pensée n’est point de mise,

Il faudrait peut être un ordre nouveau, de grand sentiments qui nous attisent,

Je peut l’espéré, je n’y crois guerre, car notre grand maux c’est la bêtise.

Paulo le 30/06/04  

 

 

Pensée profonde. (En ce dimanche 15 juin 2003)

 

La bêtise n'épuise, à moins comme aux autres, et quoi qu'on en disent,

de l'intellectuel aux commun des mortels ; elle épuise.

Son apologie n'est plus à faire ; c'est sûr ! c'est malheureusement tous les jours que sa toile elle la tisse,

pour moi elle est synonyme de méchanceté, et dans mon cerveau elle a l'attise,

car je ne peux rester triste devant ce tas d'immondices.

C'est vrai enfant et j'en ai souffert, et quand j'y pense c'étaient l'enfer,

pourtant cultiver le savoir n'est pas une science d'hier,

depuis les temps immémoriaux, nous avons évolué et nous pouvons en être fier,

et la meilleure preuve est de savoir si vous voudriez vivre dans la première hère,

pourquoi tous ces abrutis ne font pas l'effort de changer d'air.

Est-ce un état constant qui finit par devenir permanent,

comment peut-on faire le choix de rester un perpétuel emmerdant,

serait-ce pour se faire valoir, par manque d'identité qu'ils sont toujours sur les dents,

accru de cette bêtise qu'il prêche dans le vent,

ou toute personne intelligente ni accordent que peu de temps.

Ces gens dont les paupières et les pas sont lourds,

ont un cerveau qui ressemble a du yaourt,

de tous nos amis on aura vite fait le tour,

pour ne pensée qu'à un seul qui est un vrai four,

tu auras deviner qu'il s'agit de D****  N***.

La bêtise n'épuise, à moins comme aux autres, et quoi qu'on en disent,

de l'intellectuel aux commun des mortels ; elle épuise.

Son apologie n'est plus à faire ; c'est sûr ! c'est malheureusement tous les jours que sa toile elle la tisse,

pour moi elle est synonyme de méchanceté, et dans mon cerveau elle a l'attise,

car je ne peux rester triste devant ce tas d'immondices.

Ce tas d'immondices qui aiment traiter les autres d'ordures,

a fin de leur faire croire qu'il vit dans la luxure,

et que c'est une personnalité intelligente a belle allures,

pauvre type, il s'ait très bien qu'il vaut moins qu'un vieux galure,

et que même par amitié sa compagnie n'est pas une sinécure.

Comment peut-on vouer une vie entière à cette triste matière,

à cette bêtise qui sans nul doute à l'intelligence est son antimatière,

sans se rendre compte qu'il est temps de changer ses manières,

apprendre, se rapprocher, apprivoisée, aimer pour remplir sa panière,

et enfin devenir le porte-parole d'une autre bannière.

Suis-je fou de ne point comprendre ces inepties qui envahisse mon esprit,

suis-je fou de ne point de comprendre ces gens et le mal qu'ils engendrent,

pourquoi la méchanceté et la bêtise sont pour moi la même sottise,

pourquoi mon intelligence aussi maigre soit-elle m' interdit toute allégeance,

je dois être un homme à part, qui de la bêtise n'aime que son départ, de peur peut-être d'en avoir hérité une part.

La bêtise n'épuise, à moins comme aux autres, et quoi qu'on en disent,

de l'intellectuel aux commun des mortels ; elle épuise.

Son apologie n'est plus à faire ; c'est sûr ! c'est malheureusement tous les jours que sa toile elle la tisse,

pour moi elle est synonyme de méchanceté, et dans mon cerveau elle a l'attise,

car je ne peux rester triste devant ce tas d'immondices.

Ce que j'appelle mais pensée profonde ne vienne dans la journée,

au cours de mon travail ma foi assez bien mené,

car des idées pointent au bout de mon nez,

et c'est le soir en écrivant que je peux les exprimer,

c'est à toi ce soir que je les donne, car ta douce amitié m'a interpellé.

Encore un délire pour mourir de rire

mais le sujet nous a fait frire

et bien que gros sous et jackpot on a pas gagner la tirelire,

avec l'énergumène que je satire, on le voit on le vit on le subit et la société le tire,

 et des fois dans ma tête il est en mire. Alors je le tire.

 PAULUS 

 

  

Pour ta Saint Valentin  

Par ce beau matin, voilà qu’elle revient ;

Cette belle fête de la saint valentin.

Et comme tous ces amoureux, en ce jour je prend ta main 

Pour te dire qu’avec toi je fait notre chemin.

Car de toi  je suis boulimique et j’ai toujours faim

Il est vrais que du premier jour et jusqu'à demain,

Ton minois est toujours du même teint.

Et dans nos 25 ans d’amour tu a couper les  freins.

Dans tous les combats, tu est la et tu tient,

Pour tous cela ta vie me fait du bien ;

Puisque j’ai la chance de me perdre dans tes seins

Pour finir épuiser dans le creux de tes reins.

Et de cette drogue je ne vois pas la fin,

Pour tous ces bonheurs je reste dans le train.

Alors avec toi, je veux encore beaucoup de saint valentin.

Aller !         Vient…      (Paulo)

 

 

A ma chérie,

Oui. oui, je sais, je suis fou,

Mais c’est de vous que je le suis car moi aimer tous de vous.

Noël et mariage pour cette année font bon ménage,

Et quant on aime ne ditons pas qu’il n’y a pas d’age.

Tous ces paquets s’sont pour toi et te font coucou,

Cela vient d’un fou qui fréquemment t’embrasse dans le cou.

Mais trop souvent en colère et en rage,

Mais plus jamais dans le carnage.

Oui. oui, je sais, je suis fou,

Mais c’est de vous que je le suis car moi aimer tous de vous.

C’est le souvenir amer d’une folie.

Qui jamais ne s ‘apaise au lit !

Je veux monter en sagesse,

Pour toi ma belle déesse.

Communiquer, comprendre, discuter pour éviter la chien-lie,

Par le net ou les forums, je sais, je te vois et tu ries,

Seul les résultats comptent car il n’y a pas d’école pour apprendre la vie.

Oui. oui, je sais, je suis fou,

Mais c’est de vous que je le suis car moi aimer tous de vous.

26 ans déjà et pas fini,

Nous deux c’est n'et pas des raviolis.

Ni de la tarte au pipi de chez pan zani.

Ça dure et ça durera toujours,

Aussi solide et dur que les grottes de rocamadour,

Dans mon être et dans mon cœur se sera toujours le grand amour

Oui. oui, je sais, je suis fou,

Mais c’est de vous que je le suis car moi aimer tous de vous.

Et pour finir en ce beau matin

Je vous invite à prendre ma main

Pour aller chercher le grain

Qui semer dans le vent marin !

Ce déposera au creux de vos reins

Pour une extase sans fin.

Oui. oui, je sais, c’est une invitation a l’amour fou,

Mais c’est de vous que je le suis car moi aimer tous de vous.

Paulo le 23/12/02